Comme tout détenteur de chicha, il est parfois difficile de faire la différence entre un foyer et un autre. Quelle que soit sa taille – grande ou petite – son matériau – céramique, terre-cuite, verre ou silicone – le foyer pour chicha est un accessoire indispensable pour la réussite d’une session de narguilé. Au-delà des aspects esthétiques, quelles sont finalement ces dissemblances ?
Les principales spécificités de chacun des foyers pour chicha
En fonction de ses envies et de ses préférences de consommation, quatre types de foyer existent sur le marché. Pour le reste, il suffit de suivre le guide pour l’allumer correctement.
Le foyer à chicha « classique »
C’est sans contexte le numéro un des foyers. Ce type de foyer est en forme de bol, ce qui lui permet de contenir plus de tabac et, par voie de conséquence de rallonger la session de chicha. Principalement en céramique ou en terre, les trous se situent au fond du foyer. Il convient donc lors de la préparation, de disposer une feuille d’aluminium dans le fond afin de ne pas obstruer les orifices et empêcher alors la circulation de l’air. A noter, que plus le foyer est petit, plus la session le sera aussi. C’est un modèle qui convient plus à ceux et à celles qui maîtrise la préparation.
Les foyers « vortex » et « phunnel »
Les trous du foyer vortex sont situés en haut de la colonne centrale. Dans le cas du phunnel, ils sont en bas et la colonne centrale est plus longue. Le fonctionnement de ces deux foyers – en verre, en silicone par exemple – sont similaires. Leur utilisation simplifiée convient parfaitement aux débutants. Le tabac, les pierres et/ou les goûts peuvent être directement disposés au cœur du foyer. La durée d’une session est plus longue et surtout, la puissance de chauffe est bien plus rapide.
Le foyer à « spirale »
Dernier né des foyers. Dans ce cas, le tabac est placé uniformément dans les compartiments individuels permettant ainsi de faire des économies et de permettre une combustion parfaite de la mélasse.
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