Jusqu’à présent les salariés pouvaient recevoir des chèques-restaurant papier sur lesquels était inscrit un montant fixe.
Ce système permet aux salariés de pouvoir financer les différents repas lors de leurs journées de travail.
Un système qui n’était pas toujours très pratique lorsque le prix du déjeuner ne correspondait pas à celui inscrit sur le titre papier.
Le client pouvait alors recevoir un avoir si le montant du titre était supérieur à celui de son achat ou alors il devait payer la différence avec un autre moyen de paiement si le prix de son déjeuner était supérieur à celui du titre en sa possession, car rendre de la monnaie d’un chèque papier étant interdit.
Visiblement avec la carte restaurant, c’est bientôt la fin de tous ces désagréments.
Le titre papier se modernise
La carte restaurant fonctionne comme une carte bancaire classique.
Elle est valable trois ans et elle possède un code pin à quatre chiffres.
Ces nouveaux titres restaurants permettent aux salariés de payer leur déjeuner au centime près dans une limite de 19 euros par jour.
La carte n’est pas utilisable les dimanches et jours fériés sauf dérogations de l’employeur. Cette simplification ne concerne pas seulement le client, mais aussi l’entreprise. Elle n’a plus besoin d’estimer chaque mois le nombre de titres qu’elle va commander pour ses salariés. Désormais, elle peut gérer et recharger à tout moment le solde de la carte.
La simplicité avant tout
Les titres en papier ne seront bientôt qu’un souvenir.
Aujourd’hui les salariés ont encore la possibilité de pouvoir choisir, mais la carte restaurant est en marche.
Un simple code pin pour le porteur de la carte ou un code pour les mobiles, ce sont des avantages non négligeables qui vont simplifier les déjeuners des salariés.
Ce qui devrait notamment éviter l’utilisation par une tierce personne en cas de perte ou de vol.
Dans les restaurants et autres boulangeries, la fin des titres en papier est plutôt bien accueillie car ils étaient surtout synonymes de perte de temps. En effet, il fallait les classer, les compter, les tamponner et les envoyer par la poste.
C’était très souvent une source d’erreurs.
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