Lorsqu’on bénéficie du statut d’indépendant, soyons honnêtes, il est plus qu’agréable de ne pas avoir à travaillé tous les jours au même endroit, avec les mêmes personnes, dans la même ambiance. Fini les discussions incessantes avec Maryse à propos de sa voisine, et adios à l’odeur permanente de transpiration dans le réfectoire. Le revers de la médaille : trouver des endroits sympas où poser ses fesses, son ordi et son bloc-note et une connexion internet qui claque.
Travailler chez-soi
C’est possible ! On choisit soi-même ses horaires et il n’y a pas d’effort vestimentaires à faire! Notre organisation ne dépend plus que de nous, et aucun. chef.fe ne déboulera à l’improviste dans notre bureau pour nous demander des comptes sur tel ou tel dossier ! A condition de faire montre d’une certaine auto-discipline et de tenir la cadence sur le long terme, travailler chez soi peut soulager ceux qui ne supportent pas les conventions sociales qui règnent dans les bureaux. En plus, pour ceux qui bénéficient d’un jardin, l‘installation d’une pergola bioclimatique en kit donnera l’impression de travailler dehors tout en étant à l’intérieur. Utile l’hiver, de surcroît lorsque la lumière naturelle se fait désirer. En plus, on réalise des économies d’énergie.
Trouver un espace sympa
De plus en plus de structures accueillent les travailleurs nomades pour quelques heures, quelques jours ou plus, pour celles qui proposent des abonnements. Selon les endroits, musique susurrée, musique assumée ou silence d’église accompagneront la réflexion et le travail des neurones. Les espaces de co-working nourrissent et hydratent les travailleurs autant que nécessaire : on paye le temps passé, tandis que les cafés co-working fonctionnent comme des cafés traditionnels : on paye la consommation. Ces endroits permettent aux free-lance de ne pas se couper complètement socialement, et offrent une ambiance studieuse contrastant avec le cadre confortable de son logement.
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